ABERDEEN (Saint Avertin) – Avertin, nom francisé d’Aberdeen.
(?, Ecosse – 1189 ?, Saint – Avertin [37])
Moine écossais disciple de Thomas Beckett (saint Thomas de Cantorbery)
Curé de Saint – Avertin Avertin serait né au XIIe siècle en Grande-Bretagne, de parents nobles et très religieux. il accompagna Thomas Beckett au concile de Tours en 1163. Après la mort de Thomas Becket en 1170, Avertin reprit une vie d’ermite en Touraine, puis serait devenu curé de Vençay (aujourd’hui Saint-Avertin) où il serait mort et enterré en 1180 ou 1189
Le saint était souvent invoqué pour les maux de tête, mais parfois aussi contre la dysenterie. La commune de Vençay prend le nom de Saint-Avertin en 1371.
ADAM Henri
(24 novembre 1904, Revin [08] – 10 septembre 1959, Saint – Avertin [37])
Maire de Saint – Avertin Fils de Jules Albert Adam (Fondeur) et de Sophie Fiers Henri Adam est né à Revin, dans les Ardennes, à 4 km de la frontière belge. Son père, Albert, possédait à Revins une entreprise de fonderie. Après la guerre de 14, le jeune Henri apprit le métier auprès de son père. Le 25 avril 1927, Henri épouse Bélisante Raucourt à Revin. Ils eurent deux enfants: Claude, le fils (l’aîné) et Colette. En septembre 1939, Albert n’est pas très chaud à l’idée de rester en territoire exposé et de voir sa famille aussi malheureuse qu’en 1914. Mais pour aller où ?
Sa belle-fille lui vante les mérites de la Touraine et voilà toute la famille Adam partant pour cette destination. Mobilisé, Henri doit quitter les siens et rejoindre son affectation à Bourges. Ses compétences sont utilisées dans une usine d’armement. Fuyant la progression des Allemands, il rejoint les aciéries situées près d’Alès, dans le Gard. Mais rien n’arrête l’avancée ennemie. Henri tente de passer en Espagne ; il est refoulé à la frontière. Il se cache et, après être resté sans pouvoir donner de ses nouvelles durant plusieurs mois, réapparaît à l’automne 1940 au milieu de siens réfugiés en Vendée. De retour à Saint-Avertin, Henri loue la propriété Teinturier, située sur le secteur de la Singerie (aujourd’hui rue des Cigognes) et loue en face des terrains appartenant au maire, Léon Brulon. Il y installe son usine de perceuses. Désormais, la vie de la famille Adam devient inséparable de la cité qui les accueillit. Un troisième enfant naît à Saint-Avertin : Marie-Joseph. En 1957, Henri perd ses parents, il prend donc la direction des usines familiales (Saint-Avertin et Revin), ces activités l’occupent beaucoup. Et, de plus, depuis dix ans, il est maire de Saint-Avertin. Dans la nuit du 9 au 10 septembre 1959, dans sa 55 ème année, Henri Adam, était subitement terrassé par un infarctus.
Résidence : les Cigognes
ADOU Roland
(08 avril 1934, Sorigny [37] – 01 juin 1954, [Indochine])
Soldat de 2e classe au 1 er régiment de chasseurs à cheval (1 er RCC) Prisonnier le 8 mai 1954 à Dien Dien Phu, il est mort début juin et a été enterré sur la RP 41 un peu avant Hoa Binh.
Déclaré Mort pour la France, son décès est retranscrit sur les registres de Saint-Avertin le 27 mars 1957
Monument aux Morts Cimetière de Saint-Avertin
Monument aux Morts Cormery Résidence :
ANDIGNE D’
(1200 – 1400)
Propriétaires du Château de Cangé
Résidence : Cangé
ANDIGNE d’ Jacquelin I
(environ 1200)
La Famille est originaire de l’Anjou.
Son nom est cité dans une charte de l’Abbaye de Beaumont de Tours
ANDIGNE d’ Guérin
(1234)
Chevalier Fils du Précédent Son nom est cité dans une charte de l’Abbaye de Beaumont de Tours (1234). Il donne en pure aumône, du consentement de sa femme, 4 arpents de pré situés au Port-Cordon dans le fief du Seigneur de Semblançay, en récompense de ce que les dites religieuses ont reçues au nombre des leurs : Philippe sœur de sa femme.
ANDIGNE d’ Guérin II ou Garin
(1286)
Chevalier Son nom est cité dans une charte du chapitre de Saint-Martin (1286). Le chapitre de Saint-Martin transige avec Garin d’Andigné, chevalier, au sujet des bois situés aux trois Motes de Cangé, dans la forêt de Bréchenay, entre le chemin de Cangé et le bois au Chantre
ANDIGNE d’ Macée ou Marthe
(1317-1345)
Abbesse elle est nommée abbesse de Beaumont-les-Tours, au mois de juillet 1317, en remplacement de Marguerite de la Rajace et d’Agnès Viole.
ANDIGNE d’ Jacquelin II
(4 novembre 1370)
Chevalier, Seigneur de Cangé Dans cet acte du cartulaire de l’Archevêché de Tours, il rend hommage à l’archevêque de Tours, pour son fief.
ANDRÉ Alexandre Marin
(21 mai 1848, Château-Renault [37] – 08 novembre 1918, Saint – Avertin [37])
Maire de Saint – Avertin 1911 – 1918 Fils de Marin André (Charpentier) et Marguerite Jaglin
Résidence : Bellevue Saint – Michel
ANDRÉ Édouard
(17 juillet 1840, Bourges [18] – 25 octobre 1911, Bléré la Croix [37])
Architecte, Paysagiste créateur du parc des Buttes Chaumont Fils de Charles André (pépiniériste) et d’ Anne Vilnat Edouard André est sans aucun doute le paysagiste français le plus célèbre du XIX ème siècle,Edouard André est à l’origine de la conception de plusieurs centaines de jardins situés sur plusieurs continents, et s’il fut un journaliste horticole de premier plan, il est aussi le » découvreur » de cette plante si belle, l’Anthurium Andreanum, connue aussi sous le nom de » Flamant rose » ou » Langue de feu « . En Indre-et-Loire, il travaille entre autres pour le château de Beauvais et celui du Coteau à Azay-sur-Cher, le Parc de Baudry à Cérelles, le Parc du Mousseau à Orbigny et de La Bourdaisière à Montlouis-sur-Loire. Édouard André fit l’acquisition en 1871 d’une propriété à La Croix-en-Touraine (Indre et Loire). Il désira d’y créer une structure où expérimenter ses propres méthodes, tant en matière d’aménagement qu’en botanique et en horticulture. Le parc, espace naturel sensible d’une superficie d’un peu plus de deux hectares, propriété de la ville de La Croix-en-Touraine, est ouvert au public depuis .
ANDRÉ Victor Georges
(1 er février 1877, Saint – Avertin [37] – 1 er décembre 1938, Cormery [37])
Avocat, Juge, Officier, Chevalier de la Légion d’Honneur Fils de Victor André (Charcutier) et Eugénie Dubois